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Le Cognac de Charles L.98 - Trésors de Famille - Jean-Luc Pasquet

98,00 €

TTC

Edition Limitée : 648 bouteilles

Un cognac né de la ténacité d’un couple

Le Cognac de Charles raconte l’histoire de Charles et Monique, pionniers du bio en Charente, fidèles à leur terre et à leurs valeurs. Distillé en 1998 et embouteillé à son degré naturel, il incarne la liberté et la persévérance : comme à vélo, avancer toujours

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Descriptif

C’est avec une immense joie que nous vous présentons ce Cognac de Charles, Petite Champagne Lot 98, issue d’un terroir exceptionnel et d’une histoire profondément humaine. Derrière ces eaux de vie se dessine le parcours singulier d’une famille normande devenue charentaise, guidée par l’esprit d’aventure, la ténacité et l’amour du métier.

Alexis et Carmen Leroux, les parents de Charles se sont rencontrés dans les tourments de la guerre : lui prisonnier en Allemagne et Carmen condamnée aux travaux forcés. De retour en Normandie, ils reprennent une petite exploitation de trois hectares quelques animaux. Pour améliorer leur quotidien, Alexis travaille comme saisonnier au Mont Saint Michel et Carmen devient factrice. Leur fils Charles naît sur cette terre de légende en 1951.

Dans ces années-là, Alexis est victime d’une maladie, l’air marin lui est devenu nocif. En 1960, la famille prend la décision radicale : suivre le mouvement de voisins normands partis dans les Charentes. Alexis achète alors 13 hectares de terre, dont 1,5 ha de vigne à St Eugène en pleine Petite Champagne d’Archiac. Charles a neuf ans. Le déracinement est brutal pour son frère et lui : nouvelle école, nouveau patois, nouvelle vie. Mais déjà l’esprit d’adaptation et de persévérance s’enracine dans la famille.

En Normandie, Alexis s’était familiarisé avec la distillation du calvados. Aussi, en Charente Maritime, il lui a été naturel de remettre en service un petit alambic de 4,5hl chauffé au bois et au charbon. Les débuts sont modestes mais les bases sont posées.

En 1975, Charles épouse Monique et tous deux reprennent ensemble l’exploitation familiale alors que la crise viticole s’installe durablement. Charles relance l’alambic pour distiller ses vins excédentaires et se constitue un stock de cognac en barriques. En 1981, il investit dans un alambic de 12hl, une chaudière droite atypique qui donne un caractère singulier, toujours en activité à ce jour.

Visionnaires, le couple engage en 1985 la conversion totale du domaine en agriculture biologique – céréales et vignes comprises. A l’époque, les débouchés existent pour les céréales, mais pas encore sur le cognac bio. Moqueries, scepticisme, isolement : Charles poursuit malgré tout, convaincu que c’est la voie juste. Pour diversifier leurs revenus, ils cultivent jusqu’à 2 hectares de pommes de terre en bio, mécanisent la production et écoulent leurs récoltes en direct, en Biocoop et en coopératives.

En 1998, alors que la crise persiste et sur les conseils de Jean-Louis Morin de la chambre d’agriculture, Charles co-fonde l’association Vitibio aux côtés de quelques pionniers de l’agriculture biologique. Les réunions se tiennent à Eraville village emblématique du bio charentais. L’association devient un lieu d’entraide et de partage, et existe encore aujourd’hui. Le millésime du Cognac de Charles – 1998 – résonne ainsi comme un clin d’œil à cette aventure collective.

Charles et Monique ont eu deux enfants : Thierry et Béatrice. En 2014, Thierry reprend le flambeau. En 2018, un second alambic de 15 hl rejoint le premier et le vignoble atteint 25 ha, toujours en bio et en Petite Champagne.

Mais pour comprendre Charles, il faut parler de son autre passion : le vélo. Depuis ses 15 ans, il pédale avec constance et enthousiasme. A l’époque faute de moyens pour un vélo de compétition, il ne courra jamais en pro, mais il restera toute sa vie un cycliste assidu.

Avec Monique, il parcourt des centaines de kilomètres, comme lors de leur voyage de deux jours au Mont Saint Michel, couvrant 250 km par jour. Pour lui, le vélo représente la liberté, le dépassement de soi, l’effort partagé et la joie des rencontres. C’est une philosophie de vie : avancer constamment, car comme le disait Napoléon, « qui n’avance pas recule ».

Le Cognac de Charles reflète cette même énergie : un esprit de conquête, une volonté de se réinventer, une fidélité à la terre. Distillé en 1998 et élevé avec soin dès le départ – en fût neuf de chêne du limousin, gros grains, chauffe forte – il offre une richesse aromatique remarquable : des notes boisées et épicées, une gourmandise profonde, la signature d’un grand terroir.

Charles souhaitait que ce cognac rende hommage à ses parents Alexis et Carmen. Les parents qui, par courage et nécessité, ont déplacé leur famille de Normandie en Charente-Maritime. Nous sommes fiers de célébrer ici à la fois le père et le fils. Ce cognac raconte une histoire de résilience, de transmission et de passion.

Nous avons embouteillé ce lot de Petite Champagne Lot 98, le 16 juillet 2025, au degré de 52,7% vol. 648 bouteilles ont été tirées, témoins de la vie d’un homme, d’un couple et d’une famille.

C’est avec une immense joie que nous vous présentons ce Cognac de Charles, Petite Champagne Lot 98, issue d’un terroir exceptionnel et d’une histoire profondément humaine. Derrière ces eaux de vie se dessine le parcours singulier d’une famille normande devenue charentaise, guidée par l’esprit d’aventure, la ténacité et l’amour du métier.

Alexis et Carmen Leroux, les parents de Charles se sont rencontrés dans les tourments de la guerre : lui prisonnier en Allemagne et Carmen condamnée aux travaux forcés. De retour en Normandie, ils reprennent une petite exploitation de trois hectares quelques animaux. Pour améliorer leur quotidien, Alexis travaille comme saisonnier au Mont Saint Michel et Carmen devient factrice. Leur fils Charles naît sur cette terre de légende en 1951.

Dans ces années-là, Alexis est victime d’une maladie, l’air marin lui est devenu nocif. En 1960, la famille prend la décision radicale : suivre le mouvement de voisins normands partis dans les Charentes. Alexis achète alors 13 hectares de terre, dont 1,5 ha de vigne à St Eugène en pleine Petite Champagne d’Archiac. Charles a neuf ans. Le déracinement est brutal pour son frère et lui : nouvelle école, nouveau patois, nouvelle vie. Mais déjà l’esprit d’adaptation et de persévérance s’enracine dans la famille.

En Normandie, Alexis s’était familiarisé avec la distillation du calvados. Aussi, en Charente Maritime, il lui a été naturel de remettre en service un petit alambic de 4,5hl chauffé au bois et au charbon. Les débuts sont modestes mais les bases sont posées.

En 1975, Charles épouse Monique et tous deux reprennent ensemble l’exploitation familiale alors que la crise viticole s’installe durablement. Charles relance l’alambic pour distiller ses vins excédentaires et se constitue un stock de cognac en barriques. En 1981, il investit dans un alambic de 12hl, une chaudière droite atypique qui donne un caractère singulier, toujours en activité à ce jour.

Visionnaires, le couple engage en 1985 la conversion totale du domaine en agriculture biologique – céréales et vignes comprises. A l’époque, les débouchés existent pour les céréales, mais pas encore sur le cognac bio. Moqueries, scepticisme, isolement : Charles poursuit malgré tout, convaincu que c’est la voie juste. Pour diversifier leurs revenus, ils cultivent jusqu’à 2 hectares de pommes de terre en bio, mécanisent la production et écoulent leurs récoltes en direct, en Biocoop et en coopératives.

En 1998, alors que la crise persiste et sur les conseils de Jean-Louis Morin de la chambre d’agriculture, Charles co-fonde l’association Vitibio aux côtés de quelques pionniers de l’agriculture biologique. Les réunions se tiennent à Eraville village emblématique du bio charentais. L’association devient un lieu d’entraide et de partage, et existe encore aujourd’hui. Le millésime du Cognac de Charles – 1998 – résonne ainsi comme un clin d’œil à cette aventure collective.

Charles et Monique ont eu deux enfants : Thierry et Béatrice. En 2014, Thierry reprend le flambeau. En 2018, un second alambic de 15 hl rejoint le premier et le vignoble atteint 25 ha, toujours en bio et en Petite Champagne.

Mais pour comprendre Charles, il faut parler de son autre passion : le vélo. Depuis ses 15 ans, il pédale avec constance et enthousiasme. A l’époque faute de moyens pour un vélo de compétition, il ne courra jamais en pro, mais il restera toute sa vie un cycliste assidu.

Avec Monique, il parcourt des centaines de kilomètres, comme lors de leur voyage de deux jours au Mont Saint Michel, couvrant 250 km par jour. Pour lui, le vélo représente la liberté, le dépassement de soi, l’effort partagé et la joie des rencontres. C’est une philosophie de vie : avancer constamment, car comme le disait Napoléon, « qui n’avance pas recule ».

Le Cognac de Charles reflète cette même énergie : un esprit de conquête, une volonté de se réinventer, une fidélité à la terre. Distillé en 1998 et élevé avec soin dès le départ – en fût neuf de chêne du limousin, gros grains, chauffe forte – il offre une richesse aromatique remarquable : des notes boisées et épicées, une gourmandise profonde, la signature d’un grand terroir.

Charles souhaitait que ce cognac rende hommage à ses parents Alexis et Carmen. Les parents qui, par courage et nécessité, ont déplacé leur famille de Normandie en Charente-Maritime. Nous sommes fiers de célébrer ici à la fois le père et le fils. Ce cognac raconte une histoire de résilience, de transmission et de passion.

Nous avons embouteillé ce lot de Petite Champagne Lot 98, le 16 juillet 2025, au degré de 52,7% vol. 648 bouteilles ont été tirées, témoins de la vie d’un homme, d’un couple et d’une famille.